Critique rédigée collectivement par les jeunes du Groupe K et L : Clément, Solan, Emma, Zoé, Laura, Lou, Camille, Léana, Jade, Haïn, Camille, Soan, Maëlle
Ces jeunes ont participé à un atelier d’écriture critique dans le cadre du festival Avignon, Enfants à l’honneur, proposé par Scènes d’Enfance – ASSITEJ France
Du 7 au 28 juillet 2023, la Présence Pasteur lance l’Olympiade Culturelle voulue par l’État avec un spectacle de danse sur l’histoire du hip hop avec la Compagnie Pockemon Crew et son spectacle De la Rue aux Jeux Olympiques.
Une battle pour l’histoire
Comme le précise le titre, l’histoire raconte le parcours du hip-hop du spectacle de rue aux Jeux Olympiques. Les danseurs estiment que la danse suffit à la compréhension de l’histoire cependant certains spectateurs trouvent que ce n’est pas suffisant.
Les danseurs montrent aussi des sports présents aux Jeux Olympiques et Paralympiques comme le basket handisport, l’escrime, le judo et donc le hip-hop. Quelques spectateurs ont trouvé l’histoire simpliste et caricaturale. La morale de ce spectacle est que si on veut vraiment quelque chose, on peut y arriver si on persévère.
Il y a des danseurs qui dansent moins que d’autres et c’est dommage. Les danseurs ne parlent pas assez fort.
Dans la partie « cours », c’est moins dynamique, les danses sont trop répétitives mais les figures sont très impressionnantes et bien synchronisées. Les danseurs sont forts pour pouvoir faire de telles figures dont les roulades sur le tapis roulant.
Derrière et devant le rideau
Les changements de décor sont visibles, mais les espaces dans le décor représentent bien la rue, la salle de cours…
Les costumes sont trop ressemblants entre eux mais sont réalistes pour des danseurs de hip-hop de rue. Ce sont des costumes des années 80-90.
La lumière était bien mais il y avait plusieurs couleurs qui n’était pas au même endroit que le danseur.
La musique est lente quand il y a le cours de danse, mais sinon elle met l’ambiance avec les figures et les différentes lumières mettent en avant certains danseurs à certains moments même si elles ne suivent pas tout à fait les danseurs et qu’elles sont un peu pauvres et peu élaborées.